Histoire : Né d'une famille riche toujours en voyage, il vit seul depuis ses 8 ans dans une grande maison. Ses parents lui ont donné un nom de fille américain car ils étaient fan de l'héroïne principale de l'œuvre. Au Japon très peu de monde le remarquent mais si quelqu'un le remarque il peut s'énerver.
Histoire : Son père s'est marié à une japonaise, suite à sa mort la mère de Drevor préféra rentrer au Japon ne voulant plus vivre en Amérique car cela lui rappelait trop son mari, Drevor avait 7 ans à ce moment, il grandit et appris le japonais et actuellement veut devenir musicien dans un groupe.
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Naki Sowa Kingslayer bitch
Messages : 90 Date d'inscription : 29/11/2014 Localisation : Dans un Château 8)
Sujet: Re: Les persos de Kendji Girac Jeu 3 Nov - 21:31
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Présentation:
Prénom : Shun Nom : Akimitsu Avatar : Ookurikara Âge : 28 ans Taille : 1m90
Caractère :
- effrayant - mesure pas sa force - ne sais pas employer les bons mots - calme - discret - gentil (mais il le cache)
Histoire :
Né dans une famille banale, Shun a vite quitté son chez soi pour partir voyager, pour payer sa nourriture il pillait dans les villes où il passait puis peu à peu est devenu chasseur de tête, une activité qui dérange beaucoup les forces de l'ordre qui sont toujours à ses trousses ne lui laissant pas une minute de répit.
Dernière édition par Jaime Lannister le Dim 6 Nov - 12:19, édité 1 fois
Naki Sowa Kingslayer bitch
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Sujet: Re: Les persos de Kendji Girac Jeu 3 Nov - 21:41
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Présentation:
Prénom : Ninae Nom : Uryu Avatar : Koko Âge : 17 ans Taille : 1m74
Caractère :
- froide - forte - manque de délicatesse - calme - discrète - prête à aider autruit
Histoire :
La famille Uryu était partie pour être une famille tout à fait banale mais tout décida de s'écrouler sur la tête de Ninae...
Ma vie m'a toujours semblé être une routine, je me levais le matin, me préparais, mangeais, allais à l'école, rentrais, puis m'entraînait au violon. Tous les jours c'était pareil, chaque matin et chaque soir était le même, chaque geste et chaque parole échangée avec des personnes de mon entourage. Tout était identique et ennuyeux, mais je ne m'en plaignais jamais, je continuais de travailler à l'école et m'entraîner au violon. J'étais seule, mais quand t'es seule tu peux pas merder, car tu n'as que ce que tu ne peux perdre, t'as pas d'amis donc tu ne les perdras pas, t'as pas d'amour donc tu ne le perdras pas non plus. Tout ce que j'avais c'était mon violon et les cours, c'est tout et ça me suffisait. Mes parents se disputaient tout le temps, je n'avais aucun ami, je n'avais rien de ce que les enfants de mon âge ont, mais ce n'est rien, je n'avais pas besoin de ça, après tout, j'avais le violon et les cours, oui je les avais, je n'avais besoin de rien d'autre.
Papa et maman ont fini par divorcer, papa est partis depuis des mois et ne prend aucunes nouvelles, il n'a pas l'air de vouloir me parler ni à moi, ni à maman. Maman me disait juste de pas m'en faire et continuer comme chaque jour à vivre ma vie. Alors je continuais, jour après jours, je me levais le matin, me préparais, mangeais, allais à l'école, rentrais, puis m'entraînait au violon. Encore et encore, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois. Les cours et le violon, juste les cours et le violon, rien d'autre n'a d'importance, rien du tout.
Un jour en rentrant, je ne trouvais pas maman, je l'ai appelé plusieurs fois mais je ne reçu aucune réponses. On n'avait plus de téléphone, papa l'avait prit avec lui avant de disparaître. Je l'appelais encore et encore mais elle n'était pas là, sûrement sortie. Je passais tout de même dans sa chambre voir si elle se reposait ou faisait du rangement.
Son armoire était vide, son lit n'avait plus de matelas, les étages étaient totalement nues, aucun objet n'y trainait, la pièce était vide. Elle était partie, tout comme papa, elle ne m'a même pas averti. Mais c'est pas grave, je me souviens toujours : le violon et les cours, rien d'autre ne compte.
Je continuais d'aller en cours, puis l'année se fini, mes résultats étaient parfait mais je n'avais pas l'argent pour me payer l'école, elle m'a juste laissé de quoi manger et un peu pour des vêtements. Ma grand-mère passait chaque matin m'apporter de la nourriture mais ne me demandais rien de plus, on ne se parlait pas trop. Ma mère lui a sûrement parlé de quelque chose mais elle ne me dira jamais de quoi. Elle s'est occupée de l'administration de mes papiers d'école afin que mes professeurs soient prévenu, elle a donné pour excuse le fait que j'allais commencer des cours à domicile, une excuse qui est un gros mensonge en fait. Elle n'avait pas l'argent pour me payer ma scolarité, sa paie était beaucoup trop petite pour cela. De plus ma grand-mère était un peu comme mon père : Elle n'était là que par obligation et ne m'achetais que le stricte nécessaire pour vivre. Elle venait et repartait 4 fois par semaine, me laissant des plats qu'elle a fait et quelques ingrédients au cas où je voudrais cuisiner. J'avais à peine 14 ans mais j'imagine que j'étais débrouillarde. Le reste de ma famille habitait en Angleterre, je ne les voyais jamais mais je n'étais pas triste car je ne les connaissais pas. Je n'avais plus les cours, ce n'est pas grave hein ? On peut compenser, c'est bon, j'ai toujours mon violon n'est-ce pas ? Alors je vais juste jouer, encore et encore, qui sait peut-être qu'un jour je serais la meilleure violoniste au monde ? Ça serait bien, j'aurais tellement à faire que je ne pourrais plus jamais penser, quel bon plan je m'y mets, le violon, oui le violon c'est tout ce qui compte, rien d'autre n'a d'importance, rien du tout. De jour en jour ma grand-mère venait de moins en moins jusqu'à ne plus venir, il me restait tout de même l'argent de maman et les provisions que ma grand-mère m'avait laissé. Je me demande combien de temps je vivrais.
Un jour j'étais sortie pour m'acheter de la nourriture mais en revenant je constatais que la porte de ma maison était ouverte, quelqu'un était rentré de force. Je couru à l'étage pour vérifier que rien n'ai été endommagé, il n'y avait plus rien de précieux chez nous depuis plus d'un an, et l'argent qui me restait je l'avais sur moi.
En entrant dans ma chambre je constatait que plusieurs objet on était retourné mais un détail plus important me sidéra sur place. Mon violon était brisé en mille miettes au sol, tout était complètement cassé et les cordes n'étaient plus là. Ce n'est pas grave, oui ce n'est rien ça arrive, de toute façon rien n'a d'importance, rien à par le viol...
Putain, j'ai plus rien, je m'accroche à quoi putain ?! Me fallait-il m'attacher à plus de choses pour que quand je les perds il m'en reste toujours beaucoup ? Putain ! Bordel putain ! Pourquoi vous m'avez laissé seule ?! Mais qu'est-ce que j'ai fais ? Où j'ai bien pu merder bordel ?! Je faisais tout pour ne jamais vous importuner et c'est comme ça que vous me remerciez ?! Putain je vous hais ! Je vous hais tellement ! Où vous êtes bordel quand j'ai besoin de vous ? Putain de merde mais où vous êtes ?! Pourquoi vous m'avez laissé comme ça vous ?! Bande de connards je vous déteste tellement, pourquoi vous n'avez jamais essayé putain ! Pourquoi ?
Je pense que je n'ai jamais pleuré comme ce jour, enfin de toute façon je ne pleurais jamais alors on va dire que c'est "normal". Je ne savais pas quoi faire ensuite, comme s'il manquait une pièce de puzzle pour que je puisse agir. Tout ce que j'ai trouvé c'est les clopes que papa avait laissé. Alors j'ai fumé, et refumé, encore et encore, fumer c'est bien, c'est comme les cours et le violon mais c'est gratuit pour moi, car papa avait tellement de boîtes que ça ne risquait pas de vite se finir. Je fumais donc encore et encore, fumer, rien d'autre n'avait d'importance, juste fumer. Puis je me suis ennuyé de ça, ça ne marchait pas comme le violon ou les cours, alors je fumais encore plus mais ça me changeait toujours pas.
Je décidais donc de sortir pour essayer de boire mais j'avais pas un sous pour boire. Alors j'arrêtais de manger pour avoir de l'argent pour l'alcool. Je ne tiendrais sûrement pas longtemps ainsi, mais c'est pas grave, j'm'en branle, c'est bien ça, j'm'en branle. Un jour, je rentrais complètement saoule, j'avais emprunté une autre route pour rentrer et passait devant une école de rééducation réputée dans le pays je rigolais et au moment même mes pieds me lâchèrent, j'avais plus de force,peut-être que je vais mourir, je n'en sais rien, s'ils me trouvent avant là au sol, alors peut-être je vivrait, s'ils ne viennent pas, je mourrais. C'est bête à dire mais moi personnellement, j'm'en branle.
Il devait être 18 heures passés quand je prenais la commande d'un des clients du bar. J'ai survécu tout compte fait et certaines choses se sont arrangées, d'autres moins. Maintenant je mange au lieu de boire de l'alcool mais je fume toujours en cachette. J'étudie comme quand j'étais petite, sans vraiment m'appliquer mais j'étudie, c'est déjà ça. Je bosse comme serveuse et j'y mets tous mes efforts, sinon j'aurais pas d'argent pour les clopes. Cela fait presque 1 ans que je suis dans cette école, rien n'a vraiment changé mais, au moins je vis, le reste j'm'en branle.
Yuriko n'a jamais connu ses parents, elle a toujours vécu dans un orphelinat où la seule personne qui pouvait la renseigner est décédée avant qu'elle ne puisse lui poser la moindre question. Les nouveaux dirigeants du lieu ne savent rien de cette histoire et ne peuvent malheureusement pas aider la jeune fille.